Bonjour/Bonsoir,
Je me présente, je m’appelle Thibaud, j’ai une quinzaine d’année. J’aime beaucoup lire et je suis passionné par tout ce qui est heroic fantasy. Aussi bien en livre qu’en film. Ainsi que les jeux vidéo :p
Je joue a wow depuis bientôt 2 ans. Un an sur un private blizzlike et un an sur offi, a squatter le compte d’un pote =D. Je pense que l’expérience PvE comme PvP importe peu, mais on va dire que j’ai clean tout Bc et l’Pvp SAY LE MAL.
Ensuite, je pratique le rp depuis bientôt 3 ans. Je l’ai découvert en gros sur Dofus (nid pano bouftou é go xp porkass) et j’ai essayé d’en faire un peu sur Gw (é c dur !) puis sur wow a rp avec les gens dans la rue dans un premier temps et ensuite j’ai découvert une guilde rp sur mon serveur.
J'ai connu la Confrérie en cherchant un serveur Rp sur les Tops-Wow.
Passons maintenant a la présentation de mon personnage, Denetor :
"Je marchais sur ces pavées, dans ces rues, dans cette ville que je connaissais si bien. Après tant d’années tout semblait identique :
je retrouvais les mêmes boutiques aux mêmes endroits, les mêmes nobles dans les mêmes jardins, les mêmes soulards dans les mêmes caniveaux …
Presque rien n’avait changé pendant ces dix longues années loin de tous. Dix années sur la mer, à ramer du soir au matin, sous les claquements des fouets du contremaître…
Je marchais donc dans ces rues, trainant les pieds, retrouvant peu à peu mes repères. Laissant mes pas me guider au hasard des ruelles je me retrouvai naturellement vers le centre de commandement, là où j’avais vécu pendant de longues années.
Je le regardais, avec beaucoup moins d’émerveillement, certes, que la première fois où je m’étais retrouvé devant cette imposante bâtisse, quand j’étais encore un jeune et fougueux soldat. (Temps bien révolue aujourd’hui). Mais je ne pus m’empêcher de sentir mon cœur se serrer.
C’était ici que j’avais tout appris, tout connu, tout gagner et aussi tout perdu …
Et malgré toutes les promesses que je m’étais faite, je continuai toujours à avancer, montant les quelques marches de pierre d’un pas lourd.
J’avais déjà faillit à mes promesses intérieures en retournant dans cette ville, alors je pouvais bien continuer …
Et de toutes façons, je ne savais faire que ça …
Je m’assis sur une chaise, à l’intérieur du bâtiment lissant les parchemins trainant à porter de mon bras endolorit.
Je lue un parchemin fort intéressant à propos d’une guilde qui avait repris le centre de commandement pour en faire leur Qg. Ils avaient l’air plutôt indépendant par rapport à ce conseil corrompu, et ils recrutaient. Je me dis que finalement je n’étais pas trop mal tomber.
Cette « guilde » n’avait pas trop l’air de l’un de ces régiments dirigé par des militaires incapables et aveuglés par le pouvoir et l’argent.
Je réfléchissais au moyen de me présenter, de donner ou non mon passé quand je me fis interpeller par un soldat.
-Hé ! Vieux gaillard ! Tu fais quoi ici ? C’est l’armée ici, pas un hospice …
Je tournai la tête dans un premier temps, voir a qu’il s’adressait, quand je me rendis compte que j’étais seul.
Gaillard passait encore, mais… vieux ? Surement la barbe grise qui se formait en dessous de mon menton.
Je me retiens d’envoyer boulet ce jeune soldat inconscient en lui dévoilant qui j’étais mais je préférai contenir mon envie et demander à parler à un de ses supérieurs.
Il me répondit qu’il n’était pas présent pour le moment, et trouvant mon ton trop « insolent » il me demanda de décamper.
S’en était trop, je me levai avec difficulté puis commençai mon discours.
-On ne t’a jamais appris à respecter tes supérieurs gamins ?
Je suis l'officier Denetor Marchebrune second du Lieutenant Drake qui est chargé de la protection du Fort de Durn !
Enfin j’étais, vu que le fort avait été détruit, et que j’avais été renvoyé de l’armée.
Mais je ne pris pas la peine de le préciser.
-Et après plusieurs années de « calme » je souhaite parler à un des officiers de cette milice …
Alors tu vas faire en sorte que j’en rencontre un très vite.
Je ne sais si seul le grade suffit à l’impressionner, mais il partit en courant chercher un supérieur. Je souris en le voyant courir.
Un peu d’autorité n’avais jamais fait de mal aux jeunes. Ni à moi, ni a tous les autres soldats.
Et apparemment, certains n’en avait pas eu assez …
Le jeune homme revint, essoufflé, disant qu’il avait laissé un mot et qu’il fallait que je repasse plus tard. Je partis alors en ville prendre une chambre, et passer chez le barbier pour débroussailler ma barbe.
Le soir même, un garçon d'une dizaine d'années frappa à ma porte, et me remis une lettre qui m'indiqué qu'on ne voulait pas de moi dans cette nouvelle milice. Je fermai mes yeux, puis murmurai à voix basse :
- Ce n'est pas bien grave, après tout je trouverais bien quelque chose d'autre a faire dans cette ville ..."
Merci de m'avoir lu.
Bonne journée / soirée
Denetor